Famille Gredig
Histoire
Ancienne famille suisse originaire des cantons des Grisons et du Valais. Bourgeoise de Basel (1956 Tschappina GR), de Chur (1852 Safien GR), de Davos (a), de Medels im Rheinwald (1917 Safien GR), de Pontresina (1919 Davos GR), de Safien (a), de Sils im Domleschg (b Safien GR), de Tenna (a), de Tschappina (1927 D), de Versam (a), de Zillis-Reischen (a Safien GR), de Wilen bei Wil (1935), de Birgisch (a), de Fiesch (a), de Zürich (1928 D), de Zürich (1949 Sils im Domleschg GR) et de Zürich (1958 Tschappina GR).
Personnalités :
-
Lorenz Gredig, né le 5.2.1829 à
Davos, 14.4.1905 à Calprino (auj. Paradiso), à Pontresina, prot., de Davos.
Fils d'Andreas, aubergiste à l'enseigne du Rathaus (hôtel de ville) à Davos, et
de Dorothea Michel. 1849 Anna Müller, de Davos. Scolarité à Davos et à
Poschiavo. Domicilié à Pontresina dès 1849, G. y fonda un commerce de vin et
une entreprise de roulage vers 1850. Il reprit et transforma l'auberge du
Rössli (Petit Cheval) à Pontresina en 1851, qu'il transforma en auberge de la
Krone (Couronne), équipée de trois lits. En 1857, il agrandit l'établissement
pour en faire le Kronenhof Bellavista puis, entre 1897 et 1898, le Grand Hôtel
Kronenhof, qui est encore l'une des maisons les plus prestigieuses de Suisse.
Source : DHS https://hls-dhs-dss.ch/fr/
- Johanna Gredig,
née le 20.3.1840 (Johanna Gredig) à Zuoz et décédée le 4.3.1935 à Castasegna,
prot., de Tschappina et Castasegna. Fille de Johann Thomas Gredig, instituteur,
et de Margrith Florin. Epouse en 1861 Agostino Garbald, receveur des douanes,
de Castasegna. Elève de l'institut de jeunes filles de Coire. Après son
mariage, A. vécut à Castasegna dans la Bregaglia, où elle fit beaucoup pour
l'éducation et l'instruction des filles. A. se fit connaître par ses œuvres
littéraires. L'histoire des Grisons lui inspira de nombreuses nouvelles et un
roman, Violanta Prevosti (1905). A l'occasion des six cents ans de la
Confédération, elle publia sa version de Wilhelm Tell (1891), récit en prose
qu'elle peupla de figures féminines originales. Selon ses propres dires, son
roman Faustine (1889) est un autoportrait. Les récits de Das Bergell (1901) et
les histoires d'animaux de Wir und unsere Lieblinge (1914) remportèrent un vif
succès. A. publia de nombreux récits et poèmes dans des journaux et revues,
surtout dans Helvetia. Quoique de langue maternelle romanche, A. a écrit toutes
ses œuvres en allemand; certaines ont été traduites en romanche et en italien.
Source : DHS https://hls-dhs-dss.ch/fr/
Johann Garbald-Gredig, écrivain sous le pseudonyme de Silvia Andréa, * à Zuoz le 22 mars 1840 ; d'origine romanche, elle écrivit cependant des oeuvres en langue allemande: Erzâhlungen aus Graubiindens Vergangenheit, 1888 ; Der Apostel ; Donat von Vaz : Faustine. 1889 ; Helvetia ; Wilhelm Tell, 1891 ; Bergell, 1902 ; Violanta Prevosti, 1905 ; Die Ràtierin, roman, 1905 ; Wir und unsere Lieblinge (Tiergeschichlen ), 1914.
Armoiries
Gredig, von Chur GR
Gespalten von Blau, Gold, Rot und Blau
Gredig, von Fiesch VS (1)
In Silber auf grünem Dreiberg rotes Hauszeichen beseitet von zwei sechsstrahligen, goldenen Sternen und überhöht von schwebendem, rotem Balken.
Gredig, von Fiesch VS (2)
Armoiries
Etymologie
Armoiries
armoiries inconnues |
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